Poursuite de notre plongée au cœur des meilleurs albums de l’année presque écoulée avec, désormais, Arcade Fire – l’un des rares (si ce n’est le seul ?) LP qui figurera à la fois dans les tops de gwendalperrin.net, des Inrocks, de Pitchfork et du iTunes de ta sœur.
Presque tout a été écrit, ici ou là, surtout ailleurs, sur la dernière livraison des Montréalais d’Arcade Fire. Autant il me paraît inutile de rajouter des couches de sous-couches de paragraphes à ces critiques (alors, qu’au contraire, j’aime bien écrire sur des trucs dont personne ne parle, genre elle, genre lui, s’il vous plait élargissez vos horizons, bisous) – et sachant qu’en fait j’en ai déjà parlé, de « Reflektor » -, autant il serait véritablement idiot de passer à côté de ce petit bijou de pop. « Reflektor » est léger, se déguste sans faim, sans fin aussi d’ailleurs, et surtout sans lassitude : tour à tour héroïque, foutraque et déglingué, il n’en reste pas moins fichtrement universel. Encore une fois.
> #01 : Boards of Canada – Tomorrow’s Harvest.
> #02 : Sebastian Plano – Impetus.
> #04 : Lubomyr Melnyk – Corollaries.
> #05 : Aufgang – Istiklaliya.
> #06 : Greg Haines – Where We Were.
> #07 : Eluvium – Nightmare Ending.
> #08 : Ludovico Einaudi – In A Time Lapse.
> #12 : Woodkid – The Golden Age.
> #13 : Goldfrapp – Tales of Us.
> #15 : Arcade Fire – Reflektor.
> #16 : M83 – Les Rencontres d’après Minuit (OST).
> #17 : Bibio – Silver Wilkinson.
> #18 : Jóhann Jóhannsson – Prisoners (OST).
> #19 : Marcel Dettmann – Dettmann II.
> #20 : Benoît Pioulard – Hymnal.
> Retrouvez la liste des meilleurs albums de 2012, de 2011 et même de 2010.